Tout ce que vous devez savoir pour agir efficacement
Tout ce que vous devez savoir pour agir efficacement
La dernière ligne droite serait elle en vue ? Ce cinquième risque (puisque la branche ne semble plus accessible, et la nuance est sensible en termes de financement) pourrait se transformer en chance ou opportunité dans les derniers mois du quinquennat. Une grande concertation sera donc organisée, et consolidera probablement l'ensemble des réflexions, avis, recommandations et rapports exprimés et publiés depuis de si longs mois. Devons nous revenir sur les chiffres qui jalonnent cette démarche ? " Les chiffres sont aux analystes ce que les lampadaires sont aux ivrognes. Ils fournissent bien plus un appui qu'un éclairage " (Jean DION, chroniqueur et écrivain canadien).... ...
A mal nommer les choses, on rajoute de la misère au monde, disait Camus. Ne pas nommer du tout c'est nier le sujet, nier les personnes, nier les réalités. Or, la nouvelle équipe gouvernementale se caractérise par l'absence de toute référence aux personnes âgées (ou aux aînés ou aux vieux, comme on voudra). Nous disposons d'une ministre de plein exercice pour le sport, d'une secrétaire d'Etat pour la jeunesse mais rien pour la question des ainés et de l'intergénération. Cherchez l'erreur ! ...
Si l'on situe en général assez bien le tropisme du Rotavirus c'est parfois moins le cas pour le Norovirus qui n'a pourtant rien à lui envier. Et si le premier reste la cause principale de gastro-entérites chez les enfants ce dernier est par contre le leader incontesté " toutes catégories " de cette affection particulièrement épidémique. Identifié en 1968 à Norwalk dans une école élémentaire de l'Ohio, touchant en deux jours 116 des 232 enfants et enseignants, le virus porta longtemps le patronyme de sa ville " natale " avant la révision taxonomique de 2002 qui le fit entrer dans la famille des Caliciviridae genre Norovirus. Il s'avère particulièrement redoutable lorsqu'il s'attaque à une collectivité de personnes âgées qui sont plus vulnérables à l'infection et présentent des facteurs de fragilité altérant leur capacité à répondre à un stress, même minime, et dont l'un des marqueurs est l'incontinence. L'incubation est courte de 1 à 3 jours et la contagiosité est maximale les trois premiers jours de la maladie, où diarrhées et vomissements sont à leur acmé, et perdure 48 heures après l'arrêt des signes cliniques. Dans des établissements de type EHPAD il n'est pas rare de voir des taux d'attaque de la maladie impressionnants chez les résidents dépassant parfois les 80% alors que le pourcentage de soignants atteints est plus restreint, souvent inférieur à 20%. Sur le plan épidémiologique il s'avère fréquemment que ce sont les professionnels de santé qui introduisent le virus dans l'institution ou contribuent à sa diffusion secondaire après l'avoir contracté. Même si dès les premiers cas on va préconiser un renforcement des mesures d'hygiène des mains et de l'environnement on sait très bien que dans un contexte de haute transmissibilité, de charge en soins très élevée accrue par la maladie, de patients incontinents parfois dément-déambulants, la lutte contre le virus s'avère par trop inégale. L'idéal resterait alors de ne pas introduire l'ennemi dans la place. Nombre de raison vont amener un professionnel malade à venir travailler la première étant souvent sa conscience professionnelle portée par la culture enracinée de la nécessaire continuité des soins et de la prise en charge des patients et résidents. Il peut y avoir des problèmes plus organisationnels comme identifier le médecin qui va statuer sur l'inaptitude au travail car un arrêt maladie peut être, lui, pénalisant pour certains agents. Aucune décision n'est simple et plus le problème prendra de l'ampleur moins ce le sera. Toutefois se poser la question du bénéfice/risque de favoriser, ou pas, l'éviction des premiers professionnels malades est un sujet managérial intéressant. Beaucoup de questions se poseront comme par exemple comment mobiliser rapidement des ressources humaines de remplacement dans un contexte où certaines fonctions manquent d'attractivité auprès des jeunes professionnels. Les envisager parait cependant une nécessité. Et-vous quelle est votre philosophie de l'aptitude ? ...
Manger est un besoin, et bien plus encore. En EHPAD, à l'heure de la dépendance, la fonction restauration est lourde d'enjeux :plaisir, autonomie, santé, équilibre budgétaire,...Dans ce dossier, double ration de réflexion pour tout le monde !
Au Domaine de la Grange de Savigny-le-temple, la restauration conjugue plaisir et nutrition autour du projet de vie. Entre saumon à la vanille, compléments hyper-protéinés et nouveaux chariots de service, l'équipe soignante passe à table.
La dénutrition ? Un risque aux conséquences lourdes et qu'il faut avoir en tête en permanence. Explications du Professeur Héléna Paillaud, Chef du Département de médecine interne et gériatrie Groupe Hospitalier Albert Chenevier - Henri Mondor, AP-HP (Créteil).
La formation, les métiers, les salairesLa formation initiale se fait et en lycées professionnels et technologiques, en CFA, ou dans certains écoles gérées par les chambres de commerce et d'industrie.- CAP Cuisine- BEP production culinaire- CQP certification de qualification professionnelle- MC (mentions complémentaires) pâtisserie par ex- BP cuisine- BAC proLes formations initiales sont possibles en alternance, mais une fois en poste, la formation continue doit accompagner le professionnel tout au long de sa carrière (HACCP par ex). HACCP kezako ? ?Tout cuisinier se doit de connaître le HACCP (Hazard Analysis of Critical Control Points ou méthode d'analyse aléatoire des points critiques d'une cuisine). Quels en sont les enjeux ? Le HACCP est un système qui identifie, évalue et maîtrise les dangers significatifs au regard de la sécurité et l'hygiène des aliments, divisé en trois classes : les dangers biologiques (virus, bactéries...), les dangers chimiques (pesticides, additifs...), les dangers physiques (bois, verre...). Cette méthode inclut la " marche en avant " ou circuit des aliments propres et sales
Quatre d'entre elles ont un positionnement différent. Selon la typologie de vos résidents, vos envies, votre cahier des charges, votre budget, elles vous apporteront des solutions différentes.
Dans le précédent numéro, nous avons tracé les contours de l'animation en maison de retraite. Nous faisons témoigner aujourd'hui des acteurs de la fonction animation : animateurs, centre de formation, et directrice d'un foyer-logement confrontée quotidiennement au renouvellement du genre. Le poste d'animateur en Ehpad est relativement récent. Les formations sont souvent nées de la demande des directeurs d'Ehpad constatant une carence dans ce domaine. Ils souhaitaient sortir d'une vision purement " occupationnelle " pour aller vers un véritable accompagnement..
Où ? A l'Accueil de jour Marie de Miribel (Fondation Croix Saint-Simon) - Paris 11e Avec qui ? Colette Vérillon, fille de Juliette Vérillon, 91 ans, résidente
A Mont Saint-Aignan, l'école primaire du Village et l'EHPAD Les Iliades se font face. Tous les ans, les deux publics se mêlent dans un projet artistique.
Dans les Bouches-du-Rhône, quatre Equipes Mobiles de Soins palliatifs s'unissent autour d'un numéro d'appel unique, budget de l'ARS à l'appui.
" Du lait cru, cela change tout en cuisine ! "
" La réussite du cuisinier est dans le contact avec les résidents "
Le Centre mémoire de ressources et de recherche du CHU de Nice propose gratuitement un DVD qui explique l'intérêt d'une version de l'Inventaire Neuropsychiatrique (NPI) directement utilisable par l'équipe soignante (ES).
Les troubles du comportement dans la maladie d'Alzheimer et les autres syndromes démentiels.
Philosophie, démarche, concept... L'approche Snoezelen a vu le jour aux Pays-Bas dans les années 1970 auprès des personnes handicapées. Elle s'est développée en France dans les établissements qui prennent en charge des publics fragilisés : Handicap, autisme, psychiatrie, mais aussi chez les personnes désorientées et atteintes de la maladie d'Alzheimer. Elle est une réponse aux professionnels qui souhaitent mettre en place un accompagnement non médicamenteux et adapté. ...
" Je voulais être comédienne mais j'ai vite abandonné ! "
Directrice Générale Adjointe et Directrice de la Régulation de l'Offre de Santé au sein de l'Agence Régionale de Santé de Picardie, Françoise Van Rechem fait un état des lieux régional. Pour améliorer la qualité de la santé, l'ARS Picardie mise sur le partenariat avec les acteurs et la montée en compétences des structures et des équipes. De quoi rassurer les professionnels picards.
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