RENNES UNIVERSITÉ ...
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POITIERS ...
IRTS ILE-DE-FRANCE ...
Où ? A la MAIA Paris XXe. Avec qui ? Alexandra Ferrari, gestionnaire de cas, 27 ans.
Quelle formation en fin de vie pour les équipes des EPHAD ? Martine Nectoux, infirmière clinicienne et membre de l'Observatoire national de la Fin de Vie répond.
Nom : Marianne HamelinFonction : Directrice résidence le Monthéard (Le Noble Age) Parcours : public - associatif - privé lucratif
Témoin : Jean-Philippe Brunon, 47 ansFonction : Directeur de l'Arpage Louis Pasteur Chilly (Essonne) - ARPADParcours : du privé commercial vers le privé associatif à but non lucratif
" Je voulais rendre service à la société "
18,00 € TTCSerge Guérin est sociologue et professeur à l'ESG. Il a notamment publié aux éditions Michalon Vive les vieux (2008) et La Société des seniors (2009).
PRIX 19,90 € TTCISBN 2-916602-00-3Associés en Edition - 201 avenue Pierre-Brossolette - 92120 Montrouge - abonnement@associes-edition.fr
Dans le débat sur la dépendance, le pilier assurantiel suscite beaucoup de questions. Gérard Andreck, président du GEMA (Groupement des entreprises mutuellesd'assurance) et président de la MACIF apporte ici quelques éléments de réponse. L'idée d'une garantie dépendance incluse dans la complémentaire santéque le GEMA défend en est l'un d'eux
Quel sens pour le métier de directeur ? Début de réponse avec l'OAREIL (Office Aquitain de Recherches d'Études, d'Information et de Liaison sur les problèmes des personnes âgées)
Où ? A la MAIA Paris XXe. Avec qui ? Alexandra Ferrari, gestionnaire de cas, 27 ans.
Quelles sont les différences entre la prise en charge des " jeunes " et des " vieux " malades Alzheimer ? Réponse avec Paul Benadhira, directeur de l'accueil de jour Joseph Weill (Association OSE).
Un titre suffit, le plus souvent, à résumer le développement qu'il accompagne. Voilà bien à la fois le plus passionnant et le plus difficile des domaines. Car aujourd'hui, l'image de cette fonction est bien écornée. ...
Dans la chronique du mois dernier, après avoir cherché à mettre dans son contexte les enjeux du financement de la perte d'autonomie j'avais abordé la problématique du mode de financement. D'autres enjeux, de société sont posés. Le premier a trait à la notion de droit universel au soutien à l'autonomie.
Les mots sont comme les hommes ou les époques. Ils ont leurs modes et sont un peu les cosmétiques ou les paillettes d'une culture incertaine ou spontanée. C'est ainsi. " Car le mot qu'on le sache est un être vivant ". Victor Hugo, auteur de cette citation avait vu juste. ...
Dans son livre " Vivre plus longtemps " *, Rose-Marie Van Lerberghe, présidente du Groupe Korian contribue à la réflexion sur la longévité et la dépendance. A feuilleter sans modération.
Dans la chronique du mois dernier, j'avais cherché à mettre dans son contexte les enjeux du financement de la perte d'autonomie. Avant d'aborder ces enjeux, il importe de rappeler que l'élargissement du champ de la protection sociale ou l'instauration d'une "cinquième branche de couverture sociale" implique de penser en termes de solidarité collective et sociale, de faire société, de solidarité intergénérationnelle. Cette approche s'inscrit dans le droit fil des principes de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 (article 13 : " Toute contribution est établie pour l'utilité générale : elle doit être répartie entre les contribuables, en raison de leurs facultés ").
Le traitement du linge des résidents doit-il rester en interne ou faut-il le sous-traiter, telle est la question que se posent tous les directeurs d'établissement.
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