Un projet de décret étend au plan national l'expérimentation des certificats de décès rédigés par les infirmières à domicile et en Ehpad.
Un projet de décret étend au plan national l'expérimentation des certificats de décès rédigés par les infirmières à domicile et en Ehpad.
Quelques semaines à peine après le décès de Robert Badinter, Emmanuel Macron a annoncé par voie de presse (entretiens exclusifs avec nos confrères de Libération et La Croix), un projet de loi sur l'aide à mourir. Il devrait être présenté en conseil des ministres dès le mois d'avril.
L'ARS se félicite de « l'engouement » des infirmières pour l'expérimentation qui les autorise à rédiger des certificats de décès en ville, en Ehpad et en HAD
Une version préliminaire du projet de loi sur la fin de vie suscite l'indignation et l'inquiétude des organisations soignantes, comme en témoigne une conférence de presse tenue en urgence ce lundi 18 décembre.
Si 1 décès sur 5 a lieu en EHPAD, la mort reste un sujet tabou. Cette absence de discussion a des répercussions profondes, non seulement sur les résidents et leurs familles, mais aussi sur la qualité de l'accompagnement en fin de vie et du processus de deuil par le personnel soignant.
C'est le thème du 7ème colloque organisé par l'association des médecins coordonnateurs en Ehpad de l'Hérault (MedCo34), qui a réuni une centaine de professionnels exerçant en Ehpad, tous métiers confondus.
Le conseil de la CNSA livre une réflexion sur le modèle français de la fin de vie.
Première étape de la stratégie décennale 2024-2034, une instruction vise à poursuivre la structuration des filières territoriales de soins palliatifs.
Pour la CNSA, la discussion sur le « bien mourir » ne pas être dissociée de celle sur le « bien vivre » et « bien vieillir ».
Le rapport de la Cour des Comptes sur les soins palliatifs prône un plan de formation « d'envergure » pour les aides-soignantes et professionnels non médicaux des Ehpad
MCOOR apporte sa contribution au sein du débat concernant le projet de loi sur la fin de vie.
Parce que la légalisation de l'aide active à mourir n'est pas sans risque de dérives, le Cercle Vulnérabilités et Société a remis ce 21 juin, à Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé, une note de position sur l'évolution du cadre légal en matière de fin de vie.
Une étude scientifique à paraître montre une surmortalité importante des patients âgés ayant passé une nuit sans lit d'hospitalisation aux urgences.
Le Conseil économique, social et environnemental se déclare en faveur de l'aide active à mourir « pour les personnes atteintes de maladies graves et incurables, en état de souffrance physique ou psychique insupportable et inapaisable »
La CNSA et la Plateforme pour la recherche sur la fin de vie vont soutenir de nouveaux travaux de recherche en sciences humaines et sociales et en santé publique
La Convention Citoyenne sur la fin de vie réunissant 184 citoyens tirés au sort a rendu ses conclusions au Gouvernement dimanche 2 avril.
"L'euthanasie n'est pas un soin" déclarent les soignants mobilisés contre une éventuelle légalisation.
La SFAP publie un livret-feuille de route inédit à destination des décideurs publics.
La création de cellules d'animation régionale devra permettre de structurer, organiser et développer la filière palliative et l'accompagnement de la fin de vie.
L'étude CovidEhpad initiée en avril 2020 décrit et analyse la manière dont les professionnels, les résidents et leurs proches ont fait face au confinement, à la fin de vie, à la mort et au deuil lors de la première vague de l'épidémie de Covid-19.
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