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Dossier - Groupes privés commerciaux

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Dans le n° 34-juin 2013  -  A Beaux (43)

Mutualisations novatrices et passerelles entre personnes âgées et personnes handicapées

Vendredi 12 avril, François Dumuis, directeur général de l'ARS Auvergne, Laurent Wauquiez, député et Gérard Roche, président du conseil général, inauguraient un établissement hors du commun, fruit d'un travail de rapprochements entre EHPAD, MAS et FAM et de mutualisations génératrices de synergies dans le territoire de santé de l'Est de la Haute-Loire (Auvergne).

Dans le n° 34-juin 2013

" EHPAD " : un nom légitime ou... non ?

La sémantique s'impose quelles que soient les circonstances. Preuve en est cette réflexion, initiée par la FNAQPA et que Géroscopie accompagne, encouragée par la ministre déléguée aux Personnes âgées, ayant pour objectif de changer le nom d'EHPAD. Peut-on considérer cette démarche comme une priorité dans la période actuelle, où les contraintes économiques sont prégnantes ? Oui, ou mieux, comme une nécessité bienfaisante... Le nom s'impose comme un étendard et comme l'identité première, contribuant à l'inconscient collectif. Un nom peut changer bien des choses en termes de reconnaissance et d'a priori. Sauf à ce qu'il ne soit que " cosmétique " comme les spécialistes du marketing savent le faire. Le paradoxe en l'occurrence est que le secteur médico-social subit l'effet inverse. Le terme " EHPAD " n'incarne pas les valeurs et l'image des établissements qu'il identifie. Incarner?! Le voilà le " maître " mot en matière de communication, c'est-à-dire personnifier et symboliser. Plus encore, la légitimité est un facteur essentiel, et qui ne se commande pas. C'est la reconnaissance implicite. Le terme d'EHPAD, fruit de la technocratie, n'est pas légitimé. C'est évident. Le nom n'appartient pas à une profession ou à un secteur d'activité. Il est ce que lui attribue le grand public dans sa formulation quotidienne en se l'appropriant. ...

Dans le n° 34-juin 2013  -  Focus

Nutrition

Que ce soit dans les maisons de retraite, les hôpitaux ou dans les services accueillant des populations fragilisées, l'objectif commun est de proposer des repas à la fois visuellement attractifs, adaptés à une population faible et dénutrie mais aussi de donner un peu de plaisir gustatif. Un challenge compliqué pour une restauration collective en pleine mutation...

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