Dans le n° 102-mars 2019  -  Colloque Adef Résidences

Quelle est la responsabilité juridique et professionnelle du directeur en établissement médico-social ?

Comment concilier la liberté et les droits fondamentaux des individus tout en garantissant le bon fonctionnement d'une organisation collective ? Comment lier le "chez soi" et le "chez les autres", dans un lieu fermé, accueillant des personnes en situation de fragilité, qui par essence ont des difficultés à exprimer un consentement éclairé. Le point avec Yves Claisse, avocat à la Cour, membre du Comité d'éthique d'Adef Résidences.

Dans le n° 101-février 2019  -  Santé au travail

Conduites addictives en milieu professionnel : quelle responsabilité pour les employeurs ?

Les conduites addictives en milieu professionnel concernent tous les secteurs. Celui du médico-social n'est pas épargné, ce d'autant que nombre de ses établissements connaissent, en tant qu'organisations, des transformations qui peuvent fragiliser les professionnels qui y exercent. Rappel notamment sur la responsabilité des employeurs en la matière.

Dans le n° 101-février 2019  -  Initiative

Priorité aux produits locaux dans les EHPAD du Tarn

Depuis 2015, en partenariat avec l'Union départementale des établissements pour personnes âgées (UDEPA), le Conseil départemental du Tarn (81) a mis en place une charte participative « Tarn éco-EHPAD » en faveur du développement durable. Elle comprend un volet sur l'approvisionnement local pour l'achat de produits alimentaires en circuits de proximité et la création d'un label « Ici, priorité aux produits locaux ».

17/01/2019  -  Économie

EHPAD « fraudeurs » à l'Assurance maladie : le secteur public conteste l'accusation de Bercy

Le « Bilan 2017 de la fraude aux finances publiques », publié par la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) chiffre à 91,5 millions d'euros (M€) la fraude à l'Assurance maladie des établissements sanitaires et médico-sociaux en 2017, en progression de 11% depuis 2016. Pour les EHPAD, le préjudice serait d'un montant de 8,1 M€. Une accusation qui irrite les représentants du secteur public.

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