Dans son livre « Aime-moi jusqu'à la fin de ma vie » (1) , Marie-Edith Quoniam, loin du syndrome du sauveur, n'est pas politiquement correcte et le revendique. Confrontée pendant 10 ans à une forme galopante et sévère de la maladie d'Alzheimer sur son mari âgé de 60 ans, elle raconte sa douleur, sa peur et surtout sa colère face à son grand amour, son meilleur ami, son confident , un homme qu'elle ne reconnaît plus.