Dans une étude intitulée " Révision de la loi bioéthique : quelles options pour demain ? " remise au Premier ministre le 6 juillet et rendue publique le 11 juillet, le Conseil d'État considère qu'il n'est pas nécessaire de modifier le droit en vigueur en matière de fin de vie et rejette l'idée d'une loi qui autoriserait l'assistance au suicide ou l'euthanasie. Une position que les Sages ont signifié à Édouard Philippe, Premier ministre, qui les avait chargés de se prononcer sur les aspects juridiques de la prochaine révision de la loi de bioéthique.
