Mélanger privé et public, résidence-services et Ehpad pour construire une offre d'hébergement cohérente, telle est la stratégie de Jean-Yves Lebas, maire de Pléneuf-Val-André (22)
Mélanger privé et public, résidence-services et Ehpad pour construire une offre d'hébergement cohérente, telle est la stratégie de Jean-Yves Lebas, maire de Pléneuf-Val-André (22)
En 1962, une association d'aide sociale rémoise ouvrait ses premiers hébergements en habitat social. Cinquante ans plus tard, nous avons sollicité l'avis d'expert du directeur général de l'ARFO qui fort de l'expérience de l'association en la matière, fait de la prospective sur le devenir du logement-foyer.
Créés dans les années 1960, les logements-foyers ont un statut ambigu : logement social mais aussi médico-social, ils se situent entre les nouvelles résidences adaptées au grand âge et les EHPAD dont la vocation dérive vers le sanitaire.
Entre réglementation et attentes des personnes âgées ou vieillissantes, l'offre d'hébergement cherche un juste équilibre. Les logements-foyers attendent une volonté publique, les EHPAD se spécialisent sur la grande dépendance. Dans ce contexte, les résidences-services marquent clairement des points.
Les CLIC (Centres locaux de d'information et de coordination gérontologique) sont l'outil historique de l'accompagnement global et coordonné de la perte d'autonomie. Dans un paysage marqué par l'abondance des dispositifs, Richard-Pierre Williamson, président de l'ANC-CLIC (association nationale des directeurs et coordinateurs de CLIC), explique la mutation en cours et prône une offre plus lisible. Qu'est-ce que l'ANC-CLIC ?
Michèle Delaunay, Ministre délégué chargé des personnes âgées et de l'Autonomie, a publié une déclaration le 21 janvier à propos du décès d'une personne de 90 ans qui aurait quitté le service où elle était soignée.
La version définitive du projet régional de santé (PRS) d'Ile-de-France vient d'être arrêtée, pour une période de cinq ans (2013-2017), à compter du 1er janvier 2013, par Claude Evin, directeur général de l'ARS-IDF. Le nouveau PRS présente pour la première fois une vision globale de la politique régionale et de sa déclinaison territoriale.
Réalisé à la demande du Président de la République, François Hollande, le rapport sur la fin de vie du Professeur Sicard jette un regard sans concession sur les difficultés et les retards que connaît encore l'organisation de la prise en charge de la fin de vie dans notre pays.
La SFAP considère que la mission Sicard a produit un rapport non partisan qui éclaire de façon très innovante le débat citoyen sur la fin de vie. Mais l'urgence est de développer les soins palliatifs et de répondre aux inquiétudes des Français.
La ministre déléguée aux Personnes âgées et à l'Autonomie Michèle DELAUNAY et le directeur général du CHU de Bordeaux Alain HERIAUD ont annoncé, ce lundi 10 décembre, la création d'un centre de traitement et de recherche hospitalo-universitaire sur la maladie d'Alzheimer.
Au regard de l'importance de la place de la loi Léonetti démontrée par l'étude de l'INED, la SFAP trouve regrettable que 7 Français sur 10 ne la connaissent pas et ne sachent pas qu'il existe une loi qui s'oppose à l'acharnement thérapeutique, leur redonne une place centrale dans les décisions qui les concernent et les assure qu'ils ne souffriront pas lorsqu'ils seront en fin de vie.
Le Bureau d'information en France du Parlement européen a organisé le 30 novembre à la Maison de l'Europe à Paris un forum sur le thème "être actif et solidaire à tout âge". Cette manifestation s'est placée sous le signe de l'Année européenne du "vieillissement actif et de la solidarité intergénérationnelle 2012".
L'association Au bout du fil réunit, le temps d'un appel hebdomadaire, des personnes souffrant d'isolement et des bénévoles. Le coût de fonctionnement mensuel pour l'association est pris en charge par les caisses de retraite, les collectivités ou les particuliers.
La dénutrition est un état pathologique résultant d'apports nutritionnels insuffisants en regard des dépenses énergétiques de l'organisme. Chez le sujet âgé, la dénutrition protéino-énergétique est un problème majeur de santé publique en raison de sa fréquence et de ses conséquences en termes de morbidité et de mortalité. Voyons les chiffres.
Perte d'un être aimé, perte de la parole, perte de soi-même dans la maladie, la personne démente a souvent déjà connu des deuils. Le point de vue de Geneviève Demoures, psycho-gériatre au Verger des Bains (Dordogne).
La spirale de la dénutrition peut aller très vite. Le risque de dénutrition concerne 25 à 40% des résidents en EHPAD. Pour stimuler l'envie et le plaisir de manger, il faut élaborer une véritable stratégie nutritionnelle avec sa société de restauration.
Les conseillers de Domplus, service d'intermédiation au profit des bénéficiaires de caisses de retraite, accompagnent par téléphone la recherche d'un accueil de jour ou d'une maison de retraite, les demandes de CESU ou d'AP. Pour comprendre les attentes des bénéficiaires, leurs questions et leurs doutes, Géroscopie s'est invité sur une plate-forme téléphonique. A vos casques !
Didier Sapy, directeur de la FNAQPA (Fédération Nationale Avenir et Qualité de vie pour Personnes Âgées) porte un regard mitigé sur l'action des ministres de tutelle du secteur. D'un côté il reconnaît une approche plus large et plus transversale, compréhensible par tous, de l'autre il fustige la volonté de standardisation des établissements et la déviance du budget de la CNSA.
En France, on dénombre plus de 25,6 millions de ménages dont 9,3 millions composés d'au moins une personne de plus de 60 ans. Selon l'Insee, si les tendances démographiques se maintiennent, une personne sur trois aura plus de 60 ans en 2060. 5,4 millions de Français auront alors plus de 85 ans.
A l'occasion du Conseil de la CNSA du 13 novembre 2012, la Direction générale de la cohésion sociale a présenté aux membres du Conseil un bilan qualitatif sur l'utilisation du premier fonds d'aide à la restructuration des services d'aide à domicile de 50 M€.
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