02/12/2016  -  Loi ASV  6074

Dominique Bussereau réagit aux propos de Pascale Boistard

Dans une lettre adressée le 1er décembre à Pascale Boistard, secrétaire d'Etat aux personnes âgées, Dominique Busserau, président de l'Assemblée des Départements de France (ADF), réagit aux propos tenus lors d'une rencontre organisée par l'AJIS (voir notre article "Pascale Boistard demande aux départements de respecter la loi").

Il accuse cette loi de générer " de nouvelles charges. Sur ce point, les Départements se sont heurtés à des éléments de langage constants : l'accompagnement financier de la réforme est réglé par la contribution additionnelle de solidarité pour l'autonomie (Casa). Or, le produit de la Casa risque de ne pas être suffisant au-delà de 2016, eu égard aux besoins croissants des personnes âgées en perte d'autonomie, toujours plus nombreuses. "

Accusé de ne pas connaître la loi, il s'est défendu avec ironie " Sur la forme, vous serez peut-être surprise qu'un parlementaire qui vote la loi connaisse celle-ci, ne vous en déplaise. Je me permets de vous rappeler les termes de l'article 72 de la Constitution, qui prévoit le principe de libre administration des collectivités locales. Il est peut-être aussi utile de vous souvenir que l'article 1er de ladite Constitution précise que notre République est décentralisée. Il semblerait en effet que vous ignoriez les principes de la décentralisation, ce qui est assez singulier eu égard à vos fonctions. "

Il n'hésite pas non plus à l'accuser " d'instrumentaliser la communication de son administration en vue de ses intérêts lors des échéances législatives à venir ", soulignant pour répondre à la dernière attaque de la secrétaire d'état, qu'il n'a " jamais été pensionnaire du Cours Florent (!), même s'il m'est arrivé de m'y rendre pour rencontrer mon ami d'enfance Jacques Villeret. "

15/05/2025  - ESMS

Tableau de bord de la performance : de nouvelles dispositions pour les SAD

Pour cette année, le taux de remplissage est fixé à 60 % pour l'activité d'aide et d'accompagnement et à 90% pour l'activité de soins.
15/05/2025  - CNSA

Les Ehpad affichent un taux de présence de 85% en 2023

L'absentéisme dans les ESMS retrouve son niveau d'avant Covid, la vacance de postes a plus que doublé en quelques années et la rotation s'infléchit partout sauf dans les Ehpad.
12/05/2025  - ARS Centre Val-de-Loire

15 % de faisant fonction d'aides-soignantes financés par le forfait soins

L'ARS Centre-Val de Loire donne la possibilité aux 312 Ehpad de la région, à titre dérogatoire, de présenter à la facturation « soins » jusqu'à 15 % de postes d'aides-soignants occupés par des agents non diplômés.
10/05/2025  - Cinéma

« Les Esprits libres », la maladie d'Alzheimer sous l'angle de l'espoir et de possibles

Le 30 avril sort au cinéma un film documentaire de Bertrand Hagenmüller sur une résidence artistique de malades d'Alzheimer et leurs soignants dans un manoir breton.
10/05/2025  - Alzheimer

Les Esprits libres : un autre soin est possible

Complémentaire au film, un livre-manifeste « Un autre soin est possible » va paraître en juin. Ses pages de conclusion sont déjà accessibles en ligne.
09/05/2025  - Stop ou encore

Le Groupe Avec a un mois pour finaliser son plan de redressement

Le tribunal de commerce de Bobigny a accordé jusqu'au 4 juin aux nouveaux dirigeants pour préciser leur plan de continuation et ses contours.
09/05/2025  - Nominations

Didier Pagel et Matthieu Domas rejoignent le conseil d'administration de la Fédésap

Deux nouveaux administrateurs font leur entrée dans le conseil d'administration (CA) de la Fédération française des services à la personne et de proximité
09/05/2025  - Parlement

Déserts médicaux : une PPL peut en cacher une autre

Deux propositions de loi se retrouvent en concurrence, celle adoptée le 7 mai par l'Assemblée nationale en première lecture et celle adoptée le 6 mai par la commission des affaires sociales du Sénat.
06/05/2025  - Fin de vie

« Pronostic vital », « phase avancée » : la HAS conclut qu'il n'existe pas de définition à l'échelle individuelle

A ce jour, il n'existe pas de consensus médical sur la définition du pronostic vital engagé « à moyen terme », ni sur la notion de « phase avancée » lorsqu'elles sont envisagées dans une approche individuelle.