Où ? A la Résidence Hérold (Centre d'action Sociale de la Ville de Paris) - Paris XXe. Avec qui ? Michèle-Sophie Bozoni, belle-fille d'Antoinette Bozoni, 88 ans, résidente.
Où ? A la Résidence Hérold (Centre d'action Sociale de la Ville de Paris) - Paris XXe. Avec qui ? Michèle-Sophie Bozoni, belle-fille d'Antoinette Bozoni, 88 ans, résidente.
Etablir des liens entre de jeunes détenus et des résidents d'EHPAD, c'était le pari, réussi, de l'EHPAD Saint-Joseph à Orléans. La Fondation de France ne s'y est pas trompée.
La presse laisse de plus en plus de place au sujet de la mort et des soins palliatifs,... Morceaux choisis.
Si l'on situe en général assez bien le tropisme du Rotavirus c'est parfois moins le cas pour le Norovirus qui n'a pourtant rien à lui envier. Et si le premier reste la cause principale de gastro-entérites chez les enfants ce dernier est par contre le leader incontesté " toutes catégories " de cette affection particulièrement épidémique. Identifié en 1968 à Norwalk dans une école élémentaire de l'Ohio, touchant en deux jours 116 des 232 enfants et enseignants, le virus porta longtemps le patronyme de sa ville " natale " avant la révision taxonomique de 2002 qui le fit entrer dans la famille des Caliciviridae genre Norovirus. Il s'avère particulièrement redoutable lorsqu'il s'attaque à une collectivité de personnes âgées qui sont plus vulnérables à l'infection et présentent des facteurs de fragilité altérant leur capacité à répondre à un stress, même minime, et dont l'un des marqueurs est l'incontinence. L'incubation est courte de 1 à 3 jours et la contagiosité est maximale les trois premiers jours de la maladie, où diarrhées et vomissements sont à leur acmé, et perdure 48 heures après l'arrêt des signes cliniques. Dans des établissements de type EHPAD il n'est pas rare de voir des taux d'attaque de la maladie impressionnants chez les résidents dépassant parfois les 80% alors que le pourcentage de soignants atteints est plus restreint, souvent inférieur à 20%. Sur le plan épidémiologique il s'avère fréquemment que ce sont les professionnels de santé qui introduisent le virus dans l'institution ou contribuent à sa diffusion secondaire après l'avoir contracté. Même si dès les premiers cas on va préconiser un renforcement des mesures d'hygiène des mains et de l'environnement on sait très bien que dans un contexte de haute transmissibilité, de charge en soins très élevée accrue par la maladie, de patients incontinents parfois dément-déambulants, la lutte contre le virus s'avère par trop inégale. L'idéal resterait alors de ne pas introduire l'ennemi dans la place. Nombre de raison vont amener un professionnel malade à venir travailler la première étant souvent sa conscience professionnelle portée par la culture enracinée de la nécessaire continuité des soins et de la prise en charge des patients et résidents. Il peut y avoir des problèmes plus organisationnels comme identifier le médecin qui va statuer sur l'inaptitude au travail car un arrêt maladie peut être, lui, pénalisant pour certains agents. Aucune décision n'est simple et plus le problème prendra de l'ampleur moins ce le sera. Toutefois se poser la question du bénéfice/risque de favoriser, ou pas, l'éviction des premiers professionnels malades est un sujet managérial intéressant. Beaucoup de questions se poseront comme par exemple comment mobiliser rapidement des ressources humaines de remplacement dans un contexte où certaines fonctions manquent d'attractivité auprès des jeunes professionnels. Les envisager parait cependant une nécessité. Et-vous quelle est votre philosophie de l'aptitude ? ...
La dénutrition ? Un risque aux conséquences lourdes et qu'il faut avoir en tête en permanence. Explications du Professeur Héléna Paillaud, Chef du Département de médecine interne et gériatrie Groupe Hospitalier Albert Chenevier - Henri Mondor, AP-HP (Créteil).
Où ? A l'Accueil de jour Marie de Miribel (Fondation Croix Saint-Simon) - Paris 11e Avec qui ? Colette Vérillon, fille de Juliette Vérillon, 91 ans, résidente
A Mont Saint-Aignan, l'école primaire du Village et l'EHPAD Les Iliades se font face. Tous les ans, les deux publics se mêlent dans un projet artistique.
Dans les Bouches-du-Rhône, quatre Equipes Mobiles de Soins palliatifs s'unissent autour d'un numéro d'appel unique, budget de l'ARS à l'appui.
Les plus récentes études sur l'emploi mettent en avant que le secteur des services à la personne est l'un des rares domaines à avoir vu l'offre croître. Ces métiers et ces activités qui prennent une part croissante de l'activité économique globale et des emplois. Cette remarque permet de décentrer le discours commun : le vieillissement est une chance. D'abord parce que cela témoigne des effets positifs de la recherche médicale, de la prévention et de la mise en oeuvre de lois de protection sociale. Ensuite, car en favorisant une vie plus douce pour les plus fragiles cela profite à l'ensemble de la population. Et, enfin, du fait du potentiel de création d'activité économiques des seniors. C'est dans cette perspective que l'on peut lire la chercheure Joan Tronto, lorsqu'elle met en avant la nécessité de valoriser de la place des femmes dans la décision et dans la représentation sociale de la société, or, dans le même temps les métiers de service, les métiers du care et de l'accompagnement sont encore réalisés essentiellement par le seul genre féminin. Ces métiers restent mal payés, disposent de peu de système de formation et de valorisation et n'ouvrent guère à des politiques de filière et de mobilité. Notons que souvent les premières à effectuer les taches les plus ingrates, les moins gratifiantes, sont les femmes issues de l'immigration. Les aspects économiques et culturels tiennent une place structurante pour expliciter cet état de fait. Ainsi, la norme sociale a toujours dévalorisé les métiers liés au sale jugé dégradant. ...
Pour faciliter la présence de la famille pendant la fin de vie, un hébergement sur place s'impose. Dans le groupe Orpea, les solutions se multiplient.
Créer des liens permanents entre les plus jeunes, les familles et les seniors, dépendants ou non, est le pari actuel des projets architecturaux . Les réalisations récentes correspondent aux impératifs des pouvoirs publics : le maintien à domicile de la personne âgée, le développement des services de proximité, et la mixité sociale de résidences ouvertes sur la vie, toutes générations confondues.
Guide pratique des soins palliatifs et de l'accompagnement de fin de vie
Où ? A la Résidence Stéphanie, La Croix-Rouge, à Sartrouville (Yvelines) Avec qui ? Roald Cassez, fils de Madame Odette Cassez, 82 ans, en accueil temporaire
Au coeur d'un secteur en pleine évolution et concerné plus que jamais au quotidien par des thématiques concernant l'hygiène les normes, Géroscopie, dans sa nouvelle configuration, est heureux d'accueillir un chroniqueur de qualité en la personne du Docteur Pierre Parneix, médecin de santé publique et responsable du CCLIN Sud-ouest. Afin de répondre à vos attentes et vos préoccupations quotidiennes, c'est un éclairage pratique et concret que nous apportera chaque mois le Docteur Parneix sur un sujet général ou d'actualité.
Pour l'accompagnement en soins palliatifs, l'EHPAD Cousin de Méricourt (94) travaille main dans la main avec l'association asp fondatrice. Les résultats sont convaincants !
Copyright © 2022 - Tous droits réservés