Plus de 150 000 personnes âgées meurent chaque année en Ehpad, mais MCoor déplore que la préparation de l'examen du projet de loi sur l'accompagnement des malades et de la fin de vie, oublie les gériatres et médecins coordonnateurs.
Plus de 150 000 personnes âgées meurent chaque année en Ehpad, mais MCoor déplore que la préparation de l'examen du projet de loi sur l'accompagnement des malades et de la fin de vie, oublie les gériatres et médecins coordonnateurs.
Une commission spéciale composée de 71 députés débute aujourd'hui les auditions des ministres et médecins sur la question de la fin de vie et de l'aide active à mourir. Catherine Vautrin ouvre le bal.
Quatre articles pour renforcer les soins d'accompagnement et les droits des malades, dix-sept pour définir l'aide à mourir, en fixer les conditions d'accès, la procédure, le contrôle et l'évaluation avec instauration d'une clause de conscience : le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades et de la fin de vie est enfin connu.
Présentée ce mercredi 10 avril en conseil des ministres, la stratégie décennale pour le renforcement des soins palliatifs, de la prise en charge de la douleur et de l'accompagnement de la fin de vie entend marquer une rupture.
Un projet de décret étend au plan national l'expérimentation des certificats de décès rédigés par les infirmières à domicile et en Ehpad.
Quelques semaines à peine après le décès de Robert Badinter, Emmanuel Macron a annoncé par voie de presse (entretiens exclusifs avec nos confrères de Libération et La Croix), un projet de loi sur l'aide à mourir. Il devrait être présenté en conseil des ministres dès le mois d'avril.
L'ARS se félicite de « l'engouement » des infirmières pour l'expérimentation qui les autorise à rédiger des certificats de décès en ville, en Ehpad et en HAD
Une version préliminaire du projet de loi sur la fin de vie suscite l'indignation et l'inquiétude des organisations soignantes, comme en témoigne une conférence de presse tenue en urgence ce lundi 18 décembre.
Si 1 décès sur 5 a lieu en EHPAD, la mort reste un sujet tabou. Cette absence de discussion a des répercussions profondes, non seulement sur les résidents et leurs familles, mais aussi sur la qualité de l'accompagnement en fin de vie et du processus de deuil par le personnel soignant.
C'est le thème du 7ème colloque organisé par l'association des médecins coordonnateurs en Ehpad de l'Hérault (MedCo34), qui a réuni une centaine de professionnels exerçant en Ehpad, tous métiers confondus.
Le conseil de la CNSA livre une réflexion sur le modèle français de la fin de vie.
Première étape de la stratégie décennale 2024-2034, une instruction vise à poursuivre la structuration des filières territoriales de soins palliatifs.
Pour la CNSA, la discussion sur le « bien mourir » ne pas être dissociée de celle sur le « bien vivre » et « bien vieillir ».
Le rapport de la Cour des Comptes sur les soins palliatifs prône un plan de formation « d'envergure » pour les aides-soignantes et professionnels non médicaux des Ehpad
MCOOR apporte sa contribution au sein du débat concernant le projet de loi sur la fin de vie.
Parce que la légalisation de l'aide active à mourir n'est pas sans risque de dérives, le Cercle Vulnérabilités et Société a remis ce 21 juin, à Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé, une note de position sur l'évolution du cadre légal en matière de fin de vie.
Une étude scientifique à paraître montre une surmortalité importante des patients âgés ayant passé une nuit sans lit d'hospitalisation aux urgences.
Le Conseil économique, social et environnemental se déclare en faveur de l'aide active à mourir « pour les personnes atteintes de maladies graves et incurables, en état de souffrance physique ou psychique insupportable et inapaisable »
La CNSA et la Plateforme pour la recherche sur la fin de vie vont soutenir de nouveaux travaux de recherche en sciences humaines et sociales et en santé publique
La Convention Citoyenne sur la fin de vie réunissant 184 citoyens tirés au sort a rendu ses conclusions au Gouvernement dimanche 2 avril.
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