La législation française n'est pas très précise concernant l'encadrement des médecines complémentaires et alternatives (MCA). Certaines pratiques sont réglementées, d'autres tolérées... Un contexte qui implique, pour les directeurs de structures, de faire preuve d'adaptation.
Médecines complémentaires et alternatives : que dit la loi ?
Tolérante : c'est le terme qui permet le mieux de définir la législation française au regard des médecines alternatives et complémentaires. Car elle ne permet, ni n'interdit le recours à de telles pratiques. D'après le Code de la santé publique, seuls les médecins peuvent pratiquer, dans le respect de leur Code de déontologie, les actes qu'ils souhaitent dans une visée thérapeutique. Les autres professions médicales et les auxiliaires médicaux ne peuvent donc réaliser que les actes listés exhaustivement au sein de leur décret. Parmi ces...